CTN 173 : Vaccination avant l'interruption du traitement
Étude pilote visant à déterminer l'impact d'une vaccination thérapeutique contre le VIH suivie d'une interruption programmée du traitement antirétroviral sur la fonction immunitaire spécifique du VIH et le rebond virologique chez les patients présentant une suppression virale prolongée : Résultats de l'essai
À propos de l'étude
L'objectif de cette étude était de déterminer si la vaccination avant une interruption structurée du traitement (IST) est associée à une amélioration de la fonction immunitaire, entraînant un rebond retardé et réduit de la quantité de virus dans le sang. L'utilisation combinée d'ALVAC, qui renforce les réponses des cellules T CD8, et de Remune, qui apporte une aide aux cellules T CD4, a le potentiel d'induire des réponses anti-VIH capables de contrôler la réplication virale. L'étude a mesuré les changements dans le nombre de cellules CD4 et la charge virale.
Approche de l'étude
Il s'agit d'une étude randomisée, en double aveugle et contrôlée, avec un objectif de 60 participants. Les chercheurs recherchaient des participants dont la charge virale était inférieure à 50 copies/ml depuis au moins deux ans et dont le nombre de cellules CD4 était supérieur à 500 cellules/mm3. Les participants ont été randomisés dans l'un des trois groupes : le premier groupe a reçu Remune et ALVAC, le deuxième groupe a reçu Remune et un placebo et le troisième groupe a reçu des placeobs correspondants. Tous les participants ont interrompu leur traitement antirétroviral à la semaine 24.
Population de l'étude
Cette étude a recruté 52 participants dans des sites de l'Ontario et du Québec. Le nombre moyen de cellules CD4 était de 775 cellules/mm3. L'âge moyen des participants était de 52 ans.
Résultats
Le délai moyen de confirmation d'une charge virale supérieure à 50 copies/ml était de 24,5 jours pour le groupe Remune et ALVAC, de 23 jours pour les groupes Remune et placebo et de 13,5 jours pour le groupe placebo. A la semaine 36, la charge virale n'était pas différente entre les groupes. La proportion de participants ayant repris un traitement antirétroviral (TAR) n'était pas différente entre les groupes, mais le temps nécessaire pour atteindre les critères prédéfinis de reprise du TAR était plus important dans les deux groupes vaccinés. Bien que cette approche n'ait pas permis de contrôler la réplication virale de manière cliniquement pertinente, un certain nombre de personnes vaccinées ont vu leur charge virale rebondir plus tardivement et leurs CD4 diminuer moins rapidement.
Conclusion
Cette étude a montré que la vaccination avec ALVAC with Remune a retardé le rebond de la charge virale, mais n'a pas eu d'impact sur la charge virale mesurée 12 semaines après l'interruption du traitement. Cependant, elle a permis d'allonger le temps nécessaire pour que les participants remplissent les critères prédéfinis pour reprendre le traitement.
Note : Ces résultats sont tirés d'un résumé présenté lors de la 17e Conférence canadienne annuelle sur la recherche sur le VIH/sida, qui s'est tenue à Montréal (Québec) du 24 au 27 avril 2008.
Contexte
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Approche de l'étude
Il s'agit d'une étude randomisée, en double aveugle et contrôlée, avec un objectif de 60 participants. Les chercheurs recherchaient des participants dont la charge virale était inférieure à 50 copies/ml depuis au moins deux ans et dont le nombre de cellules CD4 était supérieur à 500 cellules/mm3. Les participants ont été randomisés dans l'un des trois groupes : le premier groupe a reçu Remune et ALVAC, le deuxième groupe a reçu Remune et un placebo et le troisième groupe a reçu des placeobs correspondants. Tous les participants ont interrompu leur traitement antirétroviral à la semaine 24.
Population de l'étude
Cette étude a recruté 52 participants dans des sites de l'Ontario et du Québec. Le nombre moyen de cellules CD4 était de 775 cellules/mm3. L'âge moyen des participants était de 52 ans.
Enquêteurs
Voici qui dirige cette étude.
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